Pour Vincent Peillon, "personne ne peut battre" Ségolène Royal au PS aujourd'hui !
Ralliant le camp des "ségolistes", le député socialiste européen Vincent Peillon estime mercredi que "personne ne peut battre" actuellement Ségolène Royal au parti socialiste et dénonce les attaques "inacceptables" des jospinistes et autres présidentiables.
"Si l'on votait aujourd'hui au PS, elle obtiendrait les mêmes scores que dans l'opinion. Il n'y a pas un candidat qui peut sérieusement penser qu'il la battrait actuellement devant les militants" socialistes, estime-t-il dans un entretien au "Parisien".
Ce membre du courant socialiste "Nouveau PS" dénonce le "mauvais procès" fait à Mme Royal sur la sécurité ou les 35 heures. "Les attaques dont elle fait l'objet sont inacceptables, elle est socialiste!" Et d'observer: "chaque fois qu'ils l'attaquent, ils la font monter".
Il s'en prend notamment au jospiniste Claude Allègre, qui a estimé mardi que Mme Royal ne "mérit(ait) pas" d'être candidate. "Qui monsieur Allègre rassemble-t-il, lui qui a mis le feu à l'Education nationale lorsqu'il était ministre?"
Quant aux présidentiables du PS qui accusent leur rivale de marcher sur les plates-bandes de Nicolas Sarkozy ou du Front national, le député européen prévient: "cela relève de l'injure", "ces pratiques-là sont indécentes", "on fait passer des camarades devant la commission des conflits pour beaucoup moins que cela".
"Si l'on votait aujourd'hui au PS, elle obtiendrait les mêmes scores que dans l'opinion. Il n'y a pas un candidat qui peut sérieusement penser qu'il la battrait actuellement devant les militants" socialistes, estime-t-il dans un entretien au "Parisien".
Ce membre du courant socialiste "Nouveau PS" dénonce le "mauvais procès" fait à Mme Royal sur la sécurité ou les 35 heures. "Les attaques dont elle fait l'objet sont inacceptables, elle est socialiste!" Et d'observer: "chaque fois qu'ils l'attaquent, ils la font monter".
Il s'en prend notamment au jospiniste Claude Allègre, qui a estimé mardi que Mme Royal ne "mérit(ait) pas" d'être candidate. "Qui monsieur Allègre rassemble-t-il, lui qui a mis le feu à l'Education nationale lorsqu'il était ministre?"
Quant aux présidentiables du PS qui accusent leur rivale de marcher sur les plates-bandes de Nicolas Sarkozy ou du Front national, le député européen prévient: "cela relève de l'injure", "ces pratiques-là sont indécentes", "on fait passer des camarades devant la commission des conflits pour beaucoup moins que cela".
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