18 janvier 2007

Compte rendu de la réunion Désirs d’avenir de Moulins du 9 janvier 2007






Ce sont plus de cinquante participants, d’horizons politiques variés (PS, verts, non encartés) qui ont été accueillis par Jacques Lahaye, animateur du comlité local, le 9 janvier dernier à Yzeure

Organisation du comité local : De nombreuses remarques sur la nécessité de pérenniser sous quelle que forme que ce soit DA au-delà de l’élection présidentielle. Ces moments de discussions sont essentiels ; car précisément, DA n’est pas un parti politique, il a une liberté d’expression.

Rappel que DA est et doit être s’ouvrir au maximum de gens non encartés . Sa pérennité passe par là.

Mais comment associer des gens à cette forme de militantisme sans qu’ils soient auparavant encartés, donc engagés dans la vie politique ? Comment associer les sympathisants ? Surtout comment attirer les jeunes ? Comment toucher tous ceux qui se sont éloignés de la politique, des politiques, ces années passées ?

Avis unanime : aller sur le terrain, à la rencontre de ceux et celles qui ne viendront pas participer de leur propre initiative à ce genre de débat (pourquoi pas discussions informelles en des lieux qui ne s’y prêtent pas nécessairement ? exemple : les marchés ? bien sûr les cafés ; cibler les lieux de rendez-vous des jeunes, également), écouter « les invisibles »

Toutefois, « ne pas avoir honte d’être encarté PS et de participer à DA : Ségolène a été investie par le PS, par les militants, au terme de débats démocratiques et de qualité, il est donc normal que ces mêmes militants participent massivement à la(sa) campagne ».

Débat thématique sur la vie chère du 26 janvier 2007

Des remarques ont été faites sur les problématiques qui pouvaient alors être soumises dans ce cadre à la discussion :

- ne pas se limiter au seul aspect « logement »

- ne pas oublier les classes dites « moyennes », les artisans, les salariés de droit privé en ne se limitant aux situations de détresse (SDF, RMI, minima sociaux, etc…)

- mettre un accent particulier sur le « pouvoir d’achat » stricto sensu, c’est-à-dire les salaires, car la vie chère c’est avant tout une question de salaires et de revenus des ménages, dans une société de consommation à outrance.

Fin de la discussion avec le verre de l’amitié